Publié :lundi 3 décembre 2012
Par EDVAC
Maroc Dossier : Les enfants de la rue
Les enfants de la rue, « chemkara » comme on les appelle cruellement au Maroc, vivent souvent dans des conditions déplorables et sont exposés à des abus de toutes sortes (exploitation, la prostitution, l’exclusion sociale etc.). Ils ne connaissent pas les vraies joies de l'enfance. Complètement oubliés et marginalisés par la société, ces enfants trouvent dans la rue un refuge et y fuient la violence et la misère pour y trouver violence et misère.
L’aggravation de ce fléau est due à la paupérisation
croissante, la recrudescence du divorce et l’existence d’un nombre
non négligeable de mères célibataires. Les parents des enfants de la
rue sont démissionnaires, ils ne savent plus jouer leur rôle.
Résignés, ils attendent l’assistance de l’Etat, acteur quasi-absent
dans ce combat. L’enfant est devenu une source de revenu pour les
parents démunis, ces derniers engagent leurs enfants dans le travail
à des âges précoces. Avec la marginalisation et la stigmatisation
sociale, les enfants de la rue sont exposés aux risques du passage à
la délinquance. Ils deviennent de plus en plus attachés à la rue et
se trouvent contraints à une logique de survie au jour le jour. Ils
cherchent leur intérêt immédiat par n’importe quels moyens.
croissante, la recrudescence du divorce et l’existence d’un nombre
non négligeable de mères célibataires. Les parents des enfants de la
rue sont démissionnaires, ils ne savent plus jouer leur rôle.
Résignés, ils attendent l’assistance de l’Etat, acteur quasi-absent
dans ce combat. L’enfant est devenu une source de revenu pour les
parents démunis, ces derniers engagent leurs enfants dans le travail
à des âges précoces. Avec la marginalisation et la stigmatisation
sociale, les enfants de la rue sont exposés aux risques du passage à
la délinquance. Ils deviennent de plus en plus attachés à la rue et
se trouvent contraints à une logique de survie au jour le jour. Ils
cherchent leur intérêt immédiat par n’importe quels moyens.
Ils n’ont parfois que six ans. Sans soutien familial, victimes de la négligence des adultes ou d’abus révoltants. Les enfants de la rue investissent la voie publique et y travaillent pour survivre. Les pouvoirs publics et les organisations non gouvernementales nourrissent une opinion différente quant aux statistiques de ce phénomène.
La société civile a mis en place des actions pour subvenir aux besoins de ses enfants (nourriture, vêtements, soins, éducation, formation…) et mettre fin à ce fléau qui frappe de plus en plus les villes marocaines. Les chiffres ne sont pas précis on nous parle de quelques milliers mais les associations qui travaillent sur ce problème parlent de plus et évoquent des chiffres alarmants.
L’aggravation de ce fléau est due à la paupérisation croissante, la recrudescence du divorce et l’existence d’un nombre non négligeable de mères célibataires. Les parents des enfants de la rue sont démissionnaires, ils ne savent plus jouer leur rôle. Résignés, ils attendent l’assistance de l’Etat, acteur quasi-absent dans ce combat. L’enfant est devenu une source de revenu pour les parents démunis, ces derniers engagent leurs enfants dans le travail à des âges précoces.
Les organisations internationales classent les enfants de la rue en trois groupes :
- Les enfants qui ont conservé une relation constante avec leur famille c’est-à- dire qu’ils vivent
avec leur famille dans la Rue
Avec la marginalisation et la stigmatisation sociale, les enfants de la rue sont exposés aux risques du passage à la délinquance. Ils deviennent de plus en plus attachés à la rue et se trouvent contraints à une logique de survie au jour le jour. Ils cherchent leur intérêt immédiat par n’importe quels moyens.
Agir pour sortir ces enfants de la rue est donc indispensable pour assurer à terme leur sécurité ainsi que leur avenir. Plusieurs acteurs associatifs s’accordent à dire que c’est possible. Ils ont mis en place des actions qui ont fait leurs preuves depuis longtemps : le rétablissement d’une relation de confiance avec ces enfants et une réinsertion sociale adaptée à chaque cas.
sources:http://www.continentalnews.fr