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فيروس كورونا الجديد

Posted by EDVAC | lundi 17 juin 2013 | Posted in ,

منظمة الصحة العالمية ترفع حالة التأهب القصوى وتدعو الى توخي الحذر الشديد من العدوى التنفسية الخطيرة التي يسببها فيروس
كورونا الجديد المشابه لفيروس السارس. أعراض الفيروس تبدأ كالانفلونزا بسعال وارتفاع في درجة الحرارة لتتطور الى التهاب رئوي حاد ما يؤدي الى تلف الحويصلات الهوائية وتورم أنسجة الرئة. في فرنسا تم تسجيل ثلاث اصابات بالفيروس ، وزيرة الصحة صرحت قائلة:” أريد أن أؤكد أن مختلف هيئات الدولة على أهبة الاستعداد، لنتمكن من الاحاطة بهذا الوضع، أريد التأكيد أن هذا يتم بالتعاون مع السلطات الصحية الدولية”. الفيروس رصد لأول مرة عام الفين واثني عشر، أدى منذ ظهوره إلى إصابة 30 شخصا في دول مختلفة، سجلت من بينهم 18 حالة وفاة.

اكتشاف قمح أمريكي معدل وراثيا غير مرخص ويتم تصديره

Posted by EDVAC | dimanche 2 juin 2013 | Posted in








تجري السلطات الأمريكية تحقيقا بشأن زراعة قمح معدَّل وراثيا بشكل غير مرخَّص، في أحد حقول ولاية أوريغون، الأمر الذي أثار


حفيظة كبار المستوردين للقمح الأمريكي.

CasaBlanca

Posted by EDVAC | samedi 1 juin 2013 | Posted in ,

Casablanca, plus communément appelée « Casa » est la vitrine dynamique du Maroc moderne. Véritable locomotive économique et financière de l’économie nationale, elle réalise aujourd’hui 50 % du PIB National. Son port draine les trois quarts du commerce national, son aéroport international est le premier du pays. La métropole connaît aussi une mutation de son économie et déploie aujourd’hui ses atouts dans le secteur tertiaire et des services, notamment dans la technologie.

En un siècle, la modeste bourgade d’Anfa est devenue une métropole de plus de quatre millions d’habitants et l’une des plus grandes villes d’Afrique. Mais si Casa est née au début du 19 éme siècle, le site est occupé depuis bien longtemps : on a retrouvé à Sidi –Abderrahmane, prés d’Anfa, les vestiges d’un habitat néolithique. Au 17 éme siècle les Phéniciens firent du site une étape sur la route d’Essaouira. La cité va connaître son nouvel essor grâce au sultan Mohammed Ben Abdallah la dotant d’une grande mosquée et de Zaouïas et la ville prit alors de Dar el-Beïda, la « maison blanche ».

C’est à partir de 1781, quand les espagnoles y installèrent des comptoirs, que la traduction espagnoles, Casa Blanca, se répandit. Des commerçants européens s’y installèrent et au début du XIX ème siècle, les Français obtiennent du sultan Abdelaziz de construire un port. Casablanca, considérée premier port du Maroc à partir de 1920, elle devint également, en 1925, la première escale des lignes aériennes Latécoère (la future Aéropostal) reliant Toulouse à Dakar


Après l’établissement du Protectorat, Lyautey et son architecte Henri Prost se lancent dans la réalisation du centre-ville moderne en construisant de larges boulevards bordés de grands et jolis immeubles .c’est dans cette ville que sera construite la première usine et que sera lancé le premier syndicat. En 1950, Casablanca est un centre commercial dynamique dont l’urbanisme connaît un grand essor. Les syndicats, qui y ont installé leurs sièges, jouent un rôle important dans la lutte nationaliste, surtout lors des émeutes de 1952 et les insurrections de 1953 et 1955.

Les clauses à surveiller de près lors de signature d’un contrat de crédit

Posted by EDVAC | | Posted in ,

La signature à blanc d'un billet à ordre continue d'être exigée par certains organismes alors qu'elle est interdite par la loi. En cas de remboursement anticipé d'un crédit à la consommation, aucune pénalité ne doit être payée. 
Au moment de la signature d’un contrat de crédit, qu’il soit à la consommation ou immobilier, rares sont les clients qui prennent le temps de lire le document et d’étudier ses multiples clauses. Or, il est important de se renseigner sur les droits et obligations de chacune des parties, ne serait-ce que pour ne pas avoir une mauvaise surprise au cours de la durée de remboursement. Il existe également des dispositions que l’on peut négocier avant de signer. D’ailleurs, les contrats de crédit sont dans bien des cas remplis de clauses qui surprotègent l’organisme prêteur et qui peuvent, parfois, être abusives, selon certains juristes. 

 
Parmi les principaux points auxquels il faut faire attention, on peut d’abord citer le billet à ordre signé à blanc. Les établissements de crédit n’ont plus le droit d’exiger du client la signature de ce document au moment de la souscription d’un crédit. L’article 150 de la loi 31-08 sur la protection du consommateur, entrée en vigueur en avril 2011, a instauré la nullité de ce moyen de paiement qui sert de garantie en cas de défaut de paiement. Si, après la promulgation de cette loi, nombre de banques et de sociétés de financement ont abandonné cette pratique, d’autres continuent d’y recourir et la clause qui la mentionne continue même de figurer dans leurs contrats. Un chargé de clientèle d’une banque qui recourt toujours au billet à ordre tient toutefois à nuancer : «Le billet à ordre est utilisé mais seulement pour la clientèle professionnelle». 

Sur un autre volet, il arrive qu’un établissement de crédit exige du client d’apporter des garanties personnelles (caution) ou réelles (hypothèque) dans le cas d’un crédit à la consommation non affecté (prêt personnel) d’un certain montant. Chez certains organismes, cette pratique est de mise pour tout prêt personnel d’un montant supérieur à 100 000 DH. Même dans le cas d’un crédit immobilier, pourtant donnant lieu à l’hypothèque du bien acquis en faveur de la banque, des garanties supplémentaires peuvent être exigées dans certains cas. Or, que ce soit pour le crédit à la consommation ou immobilier, aucune loi n’oblige le client à apporter ces garanties. Ce dernier a dans ce cas la possibilité d’exiger la suppression de ces garanties ou de les négocier à la baisse. Si l’organisme de crédit refuse, faire jouer la concurrence peut s’avérer utile. En outre, sachez que le propriétaire d’un bien donné en garantie a la liberté de jouir de ce dernier comme bon lui semble. Le prêteur n’a aucun droit d’interdire à l’emprunteur de le louer, d’y effectuer des travaux de rénovation ou toute autre action qui pourrait limiter son champ d’action par rapport à son bien. 

Dans un autre cadre, si le client choisit de rembourser une partie de son crédit par anticipation, l’établissement financier n’a pas le droit de l’obliger à payer la totalité de la somme restante de son prêt. Dans le cas du crédit à la consommation, le client peut opter de payer par anticipation la somme totale ou partielle restante à rembourser, sans pour autant verser une indemnité à l’établissement. Dans la pratique, certains organismes exigent le paiement d’une pénalité équivalente à une mensualité du prêt. Pour les crédits immobiliers, l’emprunteur est légalement redevable de payer une pénalité en cas de remboursement anticipé. Elle est égale à 2% du capital restant à rembourser. Notons par ailleurs qu’en cas de remboursement anticipé partiel d’un crédit immobilier, le montant minimum à verser est fixé par la loi à 10% du capital restant à rembourser. Toute clause contractuelle contraire à cette disposition est réputée nulle. 

Pour ce qui est du défaut de paiement du client, les établissements de crédit précisent dans leurs contrats qu’une majoration du taux d’intérêt sera appliquée en cas de non-paiement d’un certain nombre de mensualités (de 1 à 3). Or, il arrive que certains organismes n’appliquent cette majoration que bien après la constatation des impayés, et parfois même leur paiement. A ce titre, Me Younes Anibar, avocat au barreau de Casablanca, précise que «si la banque ne relève pas immédiatement son taux d’intérêt au moment de la défaillance du client, cette dernière n’a plus le droit de l’augmenter sous prétexte qu’elle a subi des dommages sur les intérêts dûs mais non payés». 

Notons que le client qui a contracté un crédit est dans l’obligation de payer en plus du capital restant dû et des intérêts contractuels, des intérêts de retard, qualifiés «de droits» en cas d’impayés. Ces derniers, fixés par la réglementation, ne doivent pas excéder 4% du capital restant dû dans le cas d’un crédit à la consommation et 2% dans le cas d’un crédit immobilier. Dans le cas où le dossier est transféré au tribunal, le client devra s’acquitter de la taxe judiciaire s’il obtient gain de cause. Elle est de 1% du montant déclaré. Dans le cas contraire, et c’est stipulé dans bien des contrats, il devra supporter en plus les frais de justice et les honoraires de l’avocat éventuellement engagé afin de régler le contentieux. Seulement, la législation n’a rien stipulé de tel. Me Anibar signale qu’«un établissement financier ne peut en aucun cas obliger l’emprunteur à payer quelque frais que ce soit à part ceux relatifs à la défaillance et au remboursement anticipé du client». C’est clair, le client n’a pas à supporter, en plus des intérêts de retard, les frais de l’avocat engagé pour résoudre l’affaire. En plus, Me Anibar tient à clarifier un point important qui est celui du tribunal territorialement compétent. A cet effet, il signale qu’en cas de litige, l’établissement de crédit a l’obligation d’ester le client sur le territoire de ce dernier. Seulement, dans l’usage, le prêteur  fixe généralement le lieu du tribunal compétent dans la ville où se trouve son siège. 

Par ailleurs, il faut faire attention à un autre élément essentiel, celui relatif au principe de divisibilité des prêts. Ce principe n’est pas automatiquement respecté par les sociétés de crédit en cas de défaut de paiement. Si par exemple un client contracte trois crédits avec trois garanties distinctes auprès d’un même établissement de crédit, ce dernier n’a pas le droit d’utiliser la garantie allouée à un contrat pour assurer le remboursement d’un autre, en cas de défaillance. Chaque garantie devra être destinée à couvrir les impayés éventuellement engendrés par le crédit auquel elle est liée. 

Autre point de vigilance dans le même exemple : si un crédit arrive à échéance, la banque n’a pas le droit d’affecter la garantie qui y était rattachée aux autres crédits non encore remboursés. Elle doit immédiatement fournir la mainlevée à l’emprunteur après le paiement de la dernière échéance. 
Sachez qu’une fois le contrat signé, l’emprunteur n’a plus le droit de renégocier les clauses avec sa banque, sauf s’il s’agit d’un client important. Néanmoins, il peut recourir à un avocat pour annuler une clause qu’il estime abusive, mais pas le contrat en entier. Mais pour éviter d’en arriver-là, Jamal Maâtouk, docteur en droit, recommande aux clients d’exiger de l’organisme prêteur une «offre préalable» complète avant la signature du contrat. Il s’agit d’un document regroupant toutes les informations nécessaires dont le montant, la durée, le taux d’intérêt, les mensualités ainsi que leur base de calcul et les garanties à apporter. Cette offre ne constitue aucun engagement pour l’emprunteur, mais elle oblige la banque à maintenir inchangées ses conditions pendant une durée minimale de sept jours pour le crédit à la consommation et quinze jours pour le crédit immobilier. 

Au final, Me Fadel Boucetta, avocat au barreau de Casablanca, qualifie le contrat de prêt comme étant «un contrat léonin où l’emprunteur n’a pas le droit de discuter les clauses que lui impose l’établissement financier». C’est en ce sens qu’il recommande à l’emprunteur, au moment de la signature du contrat, de se faire assister par un conseiller afin qu’il lui explique la portée des clauses et anticiper tout problème pouvant survenir. Parallèlement, dès lors que le contrat est signé, l’établissement financier est obligé de remettre une copie de ce dernier en langue arabe, et ce, selon les dispositions de l’article 206 de la loi sur la protection du consommateur. 

: L'assurance décès-invalidité doit indiquer le taux d'incapacité actuel de l'emprunteur 

L’emprunteur doit obligatoirement souscrire à une assurance décès-invalidité pour pouvoir bénéficier de son crédit. Celle-ci doit au préalable indiquer le taux d’incapacité permanente ou partielle (IPP) actuelle de l’emprunteur. Et pour cause, en cas de survenance d’une incapacité physique, il se peut que la compagnie d’assurance refuse d’assurer le remboursement du prêt, prétextant que le client souffrait déjà d’un «handicap» avant la signature du contrat. 
Pour déterminer le taux d’IPP, le client doit consulter un médecin qui peut ne pas être celui de l’assureur. 
Par ailleurs, Jamal Maâtouk, docteur en droit, met en exergue la possibilité d’étendre cette assurance à l’incapacité financière. Pour lui, «le client devra payer une prime d’assurance supplémentaire mais sera assuré en cas de faillite ou de licenciement notamment». 

Cette assurance qui doit être remplie et signée par le contractant peut par ailleurs être souscrite auprès d’une compagnie d’assurance filiale ou partenaire de l’établissement prêteur, comme elle peut l’être auprès d’un autre assureur. Dans la pratique, la banque oblige en quelque sorte le client à s’assurer auprès de la compagnie d’assurance qu’elle propose. 


Ibtissam Benchanna. 
www.lavieeco.com

Stromae Formidable

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la sortie de son titre "Formidable" a fait grand bruit sur les réseaux sociaux. Mais, avec cette nouvelle chanson, Stromae prouve surtout son talent d'auteur, d'artiste, de passeur d'émotions. De là à oser la comparaison avec son compatriote Jacques Brel ? Notre contributeur s'essaie à l'exercice.

Erfoud

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Erfoud est la capitale du Tafilalet, au nord de Rissani, le berceau de la dynastie Alaouite. Erfoud est une ville nouvelle fondée en 1913 par les Français, aux rues bien ordonnées, avec encore quelques maisons traditionnelles en pisé. Elle est à l'une des deux extrémités de la route du Ziz, empruntant le tunnel de Foum Zabel, creusé par la Légion étrangère en 1928.





Au mois d'octobre, Erfoud devient « capitale de la datte ». Pendant trois jours la Guetna anime la ville. C'est la fête des dattes, pour clore la récolte. Danses folkloriques et concours des plus belles dattes attirent des milliers de visiteurs. Cette fête est devenue le salon international des dattes à partir de l'année 2010. En plus cette ville est riche géologiquement, grâce à la pluralité des fossiles dans sa région.

HOBA HOBA SPIRIT "kalakhnikov"

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Hoba Hoba Spirit est un groupe attendu, fédérateur, n’importe quel jeune marocain a déjà écouté un de ses nombreux succès. C’est en même temps un groupe assez unique dans la scène musicale au Maroc, porte-drapeau d’une jeunesse un peu désabusée qui préfère rire des choses au lieu d’en pleurer.

Analyse financière (cours complet)

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Analyse financière se rapporte à l'évaluation méthodique de la situation financière d'une entreprise, d'une personne ou d'un projet. 
Le but de cette analyse est de fournir, à partir d'informations d'origines diverses, une vision synthétique qui fait ressortir la réalité de la situation et qui doit aider le dirigeant, l'investisseur et le prêteur dans leur prise de décision. Les aspects les plus souvent étudiés sont la profitabilité, la solvabilité et la liquidité de l'activité considérée.

Fez a son Mall : Borj Fez

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Le Mall regroupe 80 boutiques, 15 restaurants, un hypermarché et un espace de jeu sur une superficie construite de 75 000 m2 sur 4 niveaux. 5.4 millions de visiteurs par an sont attendus.

violences policières au cœur d'Istanbul

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Les heurts ont repris de plus belle, samedi matin, entre les forces de l'ordre et plusieurs centaines de manifestants. Un projet de réaménagement de la place Taksim ulcère les habitants qui dénoncent le comportement autoritaire d'Erdogan.
Taksim est-elle la future place Tahrir de la Turquie? Un vent de révolte souffle en plein cœur d'Istanbul et la colère monte au fur et à mesure que les charges de la police, soutenues par des véhicules antiémeute, se font plus violentes. Samedi, un nuage de gaz lacrymogènes enveloppe la place pour la deuxième journée consécutive.












La veille au matin, les touristes ont découvert, éberlués, des scènes de guérilla urbaine devant la porte de leur hôtel cinq étoiles, Le Divan. Et des chambres se sont transformées en refuge pour les manifestants. Les nuages de gaz lacrymogènes tirés par les forces de l'ordre rendaient l'air irrespirable. «La police effectue des tirs tendus, il y a des blessés à la tête, relate Billur Dokur, doctorante en géographie, qui prête à ses amies un spray anti-irritant pour les yeux. On voit toute la violence de l'État contre les citoyens.»
Un cliché d'Ahmet Sik, un célèbre militant d'extrême gauche, la tête en sang, a fait le tour des réseaux sociaux. Vendredi soir, un bilan faisait état d'un mort et de dizaines de blessés. Le ballet des ambulances a duré toute la journée, les affrontements se sont propagés aux rues adjacentes au fur et à mesure que les heures passaient. Ils se poursuivaient dans la soirée, offrant des scènes insurrectionnelles dignes du printemps arabe de l'autre côté de la Méditerranée.

Démolition du parc

La nuit n'avait pas encore pâli au-delà du Bosphore que les forces de l'ordre avaient entrepris, pour la deuxième journée consécutive, une chasse aux manifestants qui occupent le parc Gezi attenant à la place Taksim, brûlant les tentes de ceux qui se sont installés entre les arbres. Depuis quatre jours, des milliers de ­Stambouliotes protestent pacifiquement contre le réaménagement de Taksim. Jeudi soir, ils étaient au moins 10.000.

Un projet de rénovation urbaine prévoyant la démolition du parc a déclenché la mobilisation. Une réplique d'une caserne militaire ottomane du XVIIIe siècle qui a été rasée en 1940 sera érigée à la place. L'édifice hébergera un centre commercial et des habitations de luxe, selon le dernier projet détaillé dans la presse. La place Taksim doit, elle, être transformée en esplanade piétonnière et une mosquée sera construite sur un côté. Le projet est défendu par la municipalité d'Istanbul, dont le maire, Kadir Topbas, est un fidèle du premier ministre Recep Tayyip Erdogan.

Gezi est un des rares espaces verts du centre de la métropole de 17 millions d'habitants. «Et le gouvernement les ­coupe, c'est incompréhensible, s'insurge Mehmet, un guide touristique. C'est le cœur symbolique du pays.» Ce parc contient une dimension affective importante. Le quotidien libéral Radikal vient de lancer une campagne pour en faire un Central Park stambouliote. Le premier ministre a balayé les critiques d'une remarque méprisante: «Ils peuvent faire ce qu'ils veulent, notre décision est prise.» «Il se prend pour le sultan, reproche Gözde Küçüksahin, jeune designer qui arbore un petit tatouage dans le cou. De quel droit vend-il des terrains publics? La transformation de Taksim symbolise ce qu'il se passe dans Istanbul, c'est pour cela que les gens sont en colère.»

De gigantesques opérations immobilières remodèlent la ville, avalent l'espace public, faisant la fortune de promoteurs proches des islamo-conservateurs du Parti de la justice et du développement (AKP), au pouvoir. Il y a dix jours, les bulldozers ont rasé le cinéma Emek, un bijou architectural des années 1920, sur l'avenue de l'Istiklal qui débouche sur Taksim. Lui aussi sera remplacé par un centre commercial. Le 29 mai, le chef du gouvernement a posé la première pierre du troisième pont qui enjambera le Bosphore dès 2015, ignorant là encore les rapports alarmants sur les dégâts environnementaux…

Tour de vis

Le parc de Gezi cristallise le ras-le-bol de citoyens turcs, de plus en plus nombreux à être ulcérés par les dérives autoritaires de l'ancien maire d'Istanbul, premier ministre depuis 2003. Le vote, par le Parlement la semaine dernière, d'un nouveau tour de vis durcissant la vente d'alcool au détail est perçu comme une intrusion supplémentaire dans les modes de vie par une part importante de la population. Ce sont finalement les arbres qui fédèrent des Turcs d'horizons politiques variés, voire antagonistes: jeudi après-midi, des Kurdes dansaient en reprenant des chants de la guérilla autonomiste du PKK. Cohabitant fraternellement avec des groupes de jeunes kémalistes, qui ont longtemps défendu le pouvoir politique de l'armée. Entre les deux, des libéraux et des militants d'extrême gauche. «À ses débuts, nous avions soutenu l'AKP car il s'opposait à l'armée, il offrait un espoir de démocratie, relate Irem Inceoglu, enseignante en communication. Il a remplacé l'armée par la police.»

Etre au chômage et garder le sourire, c’est possible

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Difficile d’être au chômage et de garder le cap, de ne pas céder aux idées noires et à la dévalorisation. Difficile de passer ses journées à décortiquer, plein d’espoir, des offres d’emploi et de ne pas avoir le moral qui flanche, par instants. Difficile, oui, d’être au chômage. 
Mais voici quelques moyens reconnus pour conserver la tête hors de l’eau … 

death for sale

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Resumé : 

In Tetouan, at the northern edge of Morocco, three young men decide to rob a jewelry store. The heist goes awry, and their destinies part drastically.




Malak

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Gagner de L'argent

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